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mercredi 14 octobre 2009

CROIX ROUGE créée pour espionner inter-pays et surveiller ses pions si ils font ce qu'on leur dit

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Remarquez LA CROIX ROUGE au centre
Les Chevaliers de Malte sont mandatés pour protéger la Descendance Royale (Graal) de la Couronne Britannique germqanique (allemande).

Ils sont les Gardiens du Protestantisme d'Henri V111, roi qui nia les droits du Pape et qui créa la Religion Protestante. Et au même siècle, Mahomet créa la religion de l'Islam. C'étati l'époque où l'Église Catholique était très contestée.

En 1942, quand les Etats-Unis sont entrés en guerre, la Croix Rouge de ce pays a décidé que le sang noir ne serait pas accepté dans ses banques du sang. On évitait ainsi que le mélange des races, interdit au lit, se fît par voie d’injection. Mais quelqu’un a-t-il jamais vu du sang noir ? Et n'oubleiz pas que la Croix de Malte est le logo premier de l'Organisme de la Croix Rouge.


Le lien avec le KKK et le nazisme




La shoah eut lieu aux portes de citadins allemands qui ne voulaient pas voir, ou ne pouvaient rien dire, ou ne savaient vraiment rien (par exemple l’horreur de Buchenwald n’est qu’à quelques kilomètres de la magnifique ville de Weimar).

1939 - 1945 : L’ESPIONNAGE EN SUISSE

Le CICR épinglé

(le tour de l’œil maçonnique en forme de poisson)

Série “Propre en ordre, telle est la Suisse”

Le Comité International de la Croix-Rouge, dont le siège est à Genève, semble avoir quelque peu souffert en matière d’espionnage durant la Seconde Guerre mondiale. Des mises au point figurent toujours à ce sujet dans ses tablettes.

LA SUISSE DES ANNÉES 40

La premier cas concerne un espion de nationalité suisse travaillant pour le CICR en Afrique du Nord et recruté à Genève par les Allemands. La version de l’organisation est la suivante :

« Jean-Roger Pagan a travaillé au CICR de mars 1941 à mars 1942 et l’a quitté pour aller s’installer en Afrique française. Le 14 octobre 1943, il a été arrêté à Alger, puis jugé et condamné à mort par le Tribunal militaire permanent d’Alger pour fait d’espionnage au profit des services de renseignements allemands. Il a été exécuté le 2 décembre 1944.


Au cours de l’enquête, J.-R. Pagan aurait avoué qu’il avait été recruté à Genève par deux membres des services de renseignements allemands, Maximilian von Engelbrechten, chargé des affaires de la Croix-Rouge auprès du consulat général d’Allemagne à Genève, et un certain von und zur Mühlen de la légation d’Allemagne à Berne. Sa mission, pour laquelle il aurait reçu entre 10 000 et 20 000 francs suisses, consistait à transmettre des renseignements de caractère économique et militaire sur les alliés en Afrique du Nord et en Afrique occidentale française ».

C’est en 1996, sur la base de documents de l’OSS, que le CICR a été mis en cause pour l’action de certains de ses délégués en activité durant la guerre. Durement étrillée par la presse internationale, l’organisation internationale a mené une enquête interne et externe et constitué un groupe de travail « Seconde guerre mondiale », s’engageant à faire toute la lumière sur certains agissements de ses membres.

Un autre cas est celui de Giuseppe Beretta. Le site d’information du CICR explique que « Giuseppe Beretta n’a jamais été condamné par aucun tribunal. La seule accusation qui, en définitive, a été retenue contre lui est l’accusation de violation des prescriptions relatives à la protection de la monnaie turque, en somme, d’avoir changé de l’argent au marché noir. Il n’empêche que le CICR a considéré, au vu des indices et des témoignages en sa possession, qu’il devait se séparer de G. Beretta. Il n’existe cependant aucune preuve que G. Beretta ait abusé du courrier du CICR pour transférer de l’argent ou d’autres biens. De même, aucun document ne vient confirmer que les 710 pièces d’or, saisies par la police turque et que lui avait confiées un ressortissant allemand, Willy Goetz-Wilmos, étaient de provenance douteuse.


Ce faisceau d’allégations, le fait que W. Goetz a été accusé d’être un agent de la Gestapo, et les autres zones d’ombres qui subsistent dans le dossier, ont conduit le CICR à se séparer de G. Beretta et suffisent encore à faire planer le doute ».

Concernant Giuseppe Beretta, on sait tout de même que le colonel brigadier Roger Masson, chef du SR suisse, est intervenu auprès du CICR afin de ne pas charger le « fautif », ce qui pourrait impliquer des liens entre le SR suisse et cet étrange délégué de la Croix Rouge. Ce dernier ne fut inquiété ni par la Suisse, ni par les autorités turques, non sans raisons peut-on supposer. Mais dans ce domaine, chacun excelle à refiler la patate chaude au suivant…


On peut citer un troisième larron, engagé par le CICR à Tanger, dont le cas tel que décrit par le CICR lui permit de se sortir « nickel » (ou à peu près) des accusations de l’OSS:

« En novembre 1944, enfin, Jean Sublet, engagé par la délégation du CICR à Alger le 1er octobre 1943, comme collaborateur bénévole à Tanger, a été accusé d’avoir renseigné le consulat d’Allemagne à Tanger et d’avoir ainsi permis à un Français travaillant au service de l’Allemagne d’échapper à la justice française au Maroc.


Les faits reprochés à J. Sublet remontent à 1942. Dès qu’il en a eu connaissance, fin novembre 1944, le CICR s’est séparé de J. Sublet. Ce dernier, bien que reconnaissant les faits, n’a rien avoué d’autre que des confidences faites de manière inconsidérée.

Les recherches effectuées à propos des autres délégués mis en cause par les sources américaines indiquent, en l’état actuel des recherches, que ces allégations sont soit infondées, soit inspirées par une méconnaissance du travail effectué par le CICR. La révision de la note de dossier intitulée «Le CICR infiltré par les Nazis ?» rend justice à ces hommes qui, durant la Seconde Guerre mondiale, avaient décidé de mettre leur vie au service des victimes » .

« Les activités de l’OSS (Le Comité International de la Croix Rouge comme façade à l'espionnage pour surveiller ses pions) sur sol helvétique restent peu connues. La Suisse est restée très discrète (en matière d’espionnage), et même secrète sur son importance pour le renseignement allié durant la Seconde Guerre mondiale. Dommage. A ceux qui l’accusent d’avoir été trop conciliante avec l’Allemagne nazie, elle est en droit d’opposer ce rôle-là. D’autant qu’elle n’a pas été seulement un théâtre d’opérations. Ses services secrets ont aussi œuvré durant toute la période aux côtés de leurs homologues américain, britannique, gaulliste et même soviétique ».


Les « mauvaises actions » d’Allan Dulles

La source la plus prolixe de l’antenne bernoise de l’OSS était un certain Fritz Kolb, dit « George Wood », qui travaillait au ministère des Affaires Etrangères du Reich. Il connaît bien le milieu diplomatique allemand, a beaucoup voyagé et surtout est à la fois un antinazi et un anticommuniste convaincu. Discret, bénéficiant de protections, travailleur infatigable et apprécié de ses employeurs du Reich, il fait parvenir à l’OSS de Berne pas moins de 1200 documents tous d’actualité et est à l’origine de la fameuse affaire Ciceron, en révélant que le valet de chambre de l’ambassadeur britannique à Ankara était un espion allemand. Dès 1945 il se réfugie en Suisse et travaille pour Allan Dulles. Considéré comme traître, il ne réussira pas à réintégrer les services diplomatiques de l’Allemagne Fédérale et restera en Suisse, travaillant comme représentant d’une fabrique américaine de tronçonneuses. Il refusera également de s’expatrier aux Etats-Unis, dont il n’apprécie pas le mode de vie.

Reinhard Gehlen, officier militaire allemand, est un autre fleuron, tardif mais productif, de l’officine bernoise d’Allan Dulles. Colonel en 1942, chef des armées de l’Est, il « recrutera » plus de 100 000 prisonniers de guerre soviétique pour constituer l’Armée de libération de la Russie. En 1943 il est promus général de brigade. Devenu défavorable à la cause hitlérienne, en mars 1945, il dissimule sous forme de microfilms tous les documents concernant l’Union Soviétique en sa possession et se rend en mai de la même année aux Américains. Deux mois plus tard il remet à l’OSS un compte-rendu édifiant et à l’instigation de cet organisation fonde le Résau Gehlen, l’oeil de Washington sur les pays de l’Est et l’URSS. Dulles avait bien sûr promis de protéger Gehlen, les deux personnages s’entendant parfaitement.

A noter finalement que les renseignements acquis sur les V2 qui bombardaient Londres venaient aussi du bureau bernois de l’OSS. Noter également qu’Allan Dulles, promu chef de la CIA, est à l’origine de la triste épopée du débarquement de la Baie des Cochons, à Cuba.

Il est habituel de dire que la Suisse fut durant la Seconde Guerre mondiale une plaque tournante de l’espionnage international. Il est tout autant habituel de constater le peu d’informations sur ces activités au pays des Helvètes.

Pour mieux comprendre et le sujet, et la discrétion qui l’entoure, il est utile de remonter quelques années avant 1939. En 1936, une officine privée de renseignement, le « Büro Ha » créée en 1933 par un certain Hans Hausamann, patriote actif et conseiller du Parti Socialiste suisse pour la défense nationale, est associée au tout nouveau Service officiel de Renseignement (SR) suisse. Ce SR fut commandé depuis lors et pour toute la durée de la guerre par le colonel brigadier Roger Masson, également sous-chef de l’Etat Major général suisse. Celui-ci organisa les services secrets et géra admirablement le panier de crabe de l’espionnage en Suisse. Plusieurs exemples permettent de déterminer avec quelle adresse le chef du SR suisse surfa sur la toile du renseignement tout en préservant la neutralité helvétique. Mais il est important de préciser que, à l’encontre d’une grande partie de la classe politique, l’armée suisse et le SR furent en règle générale opposés à l’Allemagne hitlérienne et favorisèrent les pays alliés, parfois ouvertement mais également de manière passive.

«On devait prouver que la Suisse était neutre, raconte Nicolas Vodoz, historien de cette époque confuse. On a donc ouvert un bureau chargé d’espionner l’Allemagne et un autre pour surveiller les Alliés. Mais les moyens à disposition du second étaient dérisoires comparés au premier».



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